Syndicat général de l'Éducation nationale et de la Recherche publique
Histoire : La France et la mémoire de l’esclavage Pour nous aider notons l’excellent dossier proposé par le
Cndp. Pour le collège et le lycée il propose plusieurs axes d’étude
appuyés sur de nombreux documents. On peut ainsi restituer
l’histoire de la traite, son organisation, le système esclavagiste,
la société coloniale etc.
Dossier Cndp Dossier du Café Pédagogique "Colonisation, histoire et mémoire" La note de service relatif au travail de mémoire sur la traite négrière, l’esclavage et leurs abolitions est parue au Bulletin officiel n°40 du 8 novembre 2007 (clic droit). La place réservée à la question de l’esclavage dans les programmes scolaires ainsi que quelques pistes d’orientation pour l’exploitation pédagogique du sujet dans les classes sont sur le site Eduscol : http://eduscol.education.fr/D0090/e... Le site de l’APHG de La Réunion (Cliquez ici) publie un bon dossier avec les textes officiels, une bibliographie détaillée, un dossier sur l’esclavage et des pistes pédagogiques. des pistes,, des docs :
En 2006, le président de la République a souhaité que la France métropolitaine honore le souvenir des esclaves et commémore l’abolition de l’esclavage. Il a choisi pour cela le 10 mai, date anniversaire de l’adoption à l’unanimité par le Sénat de la loi de 2001 reconnaissant la traite négrière et l’esclavage comme un crime contre l’humanité.
Le 23 mai était souhaité par des députés d’outre-mer : il rappelle une manifestation importante de Français originaires des DOM en 1998. Le BO n°16 du 20 avril 2006 http://www.education.gouv.fr/bo/200... vise à l’organisation dans les écoles, collèges et lycées de temps forts pour honorer la mémoire de cette tragédie humaine avec entre autres des textes de Bernardin de Saint-Pierre,
Condorcet, Léopold Sédar Senghor, Aimé Césaire etc. — - petit rappel 2006 : Le bilan positif de la colonisation annulé
() C’est finalement un vice de conformité qui permettra l’annulation, par décret, de l’article 4 de la loi du 23 février 2005 . Pour autant le débat sur les relations entre histoire et mémoire(s) n’est pas clos. Des historiens, soucieux de préserver la liberté des chercheurs, demandent l’abrogation de toutes les lois mémorielles, au risque d’apporter un puissant soutien aux négationnistes. archives sur le sujet :
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