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Syndicat général de l'Éducation nationale et de la Recherche publique

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  • 8 avril 2010

    L’avis des « Cahiers pédagogiques »

    Dans les discours sur la violence, il est souvent difficile de sortir du simplisme opposant un agresseur et sa victime, en particulier lorsqu’il s’agit d’évoquer le problème à l’échelle de la société ou d’institutions comme l’école. L’agresseur, ce serait une certaine jeunesse, ou bien l’environnement social, diront plus pudiquement ceux qui veulent éviter d’accuser les jeunes ; la victime serait l’école en général, les enseignants en particulier. Ne reste plus alors qu’à trouver les bons moyens pour sévir contre l’agresseur, « le sauvageon », « la racaille », « le jeune sans repères », les empêcher de nuire en les plaçant dans des « établissements adaptés » où ils ne perturberont plus la vie des autres », et protéger la victime, par des portiques, des caméras, des mesures de « sanctuarisation ». C’est un raisonnement « de bon sens » en réaction immédiate à une agression précise. Protéger, alerter, secourir, c’est le b. a.-ba de l’intervention en urgence. S’atteler au problème social des violences scolaires, c’est tout autre chose...

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    Le site des états généraux de la sécurité à l’école